Ces poteaux sont les clous de quelque chose
Québec ronfle d’amour
De belles pelles bleues
Les pigeons couverts de rue
À manger des restes
Humains dépêchés
Compresseurs
Se lever à la machine
Nous nous faisons à nos bras incarnés
Un chien flamboie
Un oiseau cuit ses couleurs
Et rit de nous les poisons
Qui méditent vite
De petits sacs baillés
Cassés au lait
Mis dans le même super écran
Gagner absorbe la honte
De dormir sans lit
Une femme traîne les pieds sous l'autocar
Et se stationne nue Grèce
Croustade
Voilà le sac de veines
Cinq vitesses les lignes
D’emballages trois étages
À leurs paiements automatiques
Aux quatre coins les quarante voleurs
Rechercher dans les poèmes
Ton brevet pleurait
Feu les forêts les poils pubiens
Demi-bas-prix
Énergie de rare
Sur la mammaire morte flotter
En nappe
Sur l'espèce solaire
De partout c’est pareil le ciel
Anti-odeur
Tunnel d’ailes vendeuses
Soubassement
Secrète couture des eaux de boyaux
Des grandes chaînes
Des montagnes à dents croches
Tout trouver au même demi-toit
Porté de bonnes attentions
Habillé de dettes foncées
Chèque de pièges à l’huile
Cargo à mâchoire déboîtée
Congélateur de Noël
Tu perces le marché
Le pus est un marché de plus
Demi-bas-prix
Énergie de rare
Sur la mammaire morte flotter
En nappe
Sur l'espèce solaire
De partout c’est pareil le ciel
Anti-odeur
Tunnel d’ailes vendeuses
Soubassement
Secrète couture des eaux de boyaux
Des grandes chaînes
Des montagnes à dents croches
Tout trouver au même demi-toit
Porté de bonnes attentions
Habillé de dettes foncées
Chèque de pièges à l’huile
Cargo à mâchoire déboîtée
Congélateur de Noël
Tu perces le marché
Le pus est un marché de plus
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