Il n'y a pas de lenteur trop molle
À lécher le vent
Qui glace à la main
En couchant ta bouche
C'est écrit en corps
La peur de se prendre par la peur
Où rien à faire personne n'arrête
Pour crier de poésie
Le métal d'aimer
Te toucher est incassable
On me voit à ce bon moment
Le meilleur nous frôle
Avec toute sa foule
Tu ris au hasard réussi
Mijotons
À mâcher la braise
L'été à dossard nucléaire